Enfance
- Une meilleure surveillance
À propos de l’article «Vassilis Venizelos tire deux leçons des cas qui secouent la DGEJ» («24 heures» du 21 mai).
Nous entendons les mêmes révélations depuis de nombreuses années. Il n’y a pas véritablement de surveillance, ni même de procédure de contrôle de qualité au niveau des rapports qui sont établis.
Le Mouvement parents, enfants, jeunesses (MPEJ) souhaite ainsi la création d’un organe de contrôle et de surveillance indépendant disposant d’un pouvoir de sanction. Nous réclamons aussi que tous les entretiens entre les familles impliquées et les professionnels du Canton soient protocolés ou enregistrés. Cela permettra de prouver exactement ce qui a été dit ou pas dit. Ainsi seulement, la DGEJ pourra aller vers plus d’objectivité et d’humanité.
Julien Dura, président MPEJ, Blonay